Bienvenue au Sommet 2023 du GFRID
Promu par les Nations Unies comme une tribune permettant d’impliquer tous les secteurs, le GFRID 2023 se penchera sur les possibilités et les défis rencontrés dans le paysage post-pandémique en mettant l’accent sur les principaux couloirs d’envois de fonds et les innovations en matière d’investissement des diasporas en Afrique.
Comme à chaque sommet, le Sommet 2023 du GFRID facilitera la mise en réseau des secteurs, ainsi que l’échange de bonnes pratiques et la création de synergies vers des initiatives communes et innovantes destinées à libérer le pouvoir des envois de fonds et des investissements des diasporas en faveur du développement durable.
Principaux objectifs
Environ 500 participants sont attendus, en provenance de la région et du monde entier. Avec son format unique et inclusif, le Sommet 2023 du GFRID vise à:
Créer un processus d’engagement continu entre les principaux représentants des secteurs public et privé africains et mondiaux, ainsi que de la société civile.
Promouvoir les meilleures pratiques tant africaines que mondiales afin de réduire le coût des envois de fonds, tout en favorisant l’inclusion financière par le biais de la concurrence sur le marché, de modèles commerciaux innovants et de l’utilisation de technologies perturbatrices.
Élaborer des stratégies multipartites et des partenariats pour développer des véhicules financiers performants impliquant des contributions des migrants et/ou des diasporas, par le biais d’investissements et de l’esprit d’entreprise.
Contribuer aux processus mondiaux sur les envois de fonds, l’investissement et le développement, tels que la réalisation et la mise en œuvre du Pacte mondial sur les migrations, conformément aux ODD.
Le contexte africain
Les envois de fonds et les investissements des diasporas représentent un apport financier important pour les marchés africains et une source de revenus vitale pour des millions d’individus et de familles. Des données fiables ne sont toujours pas disponibles pour plusieurs pays africains, où le secteur des envois de fonds reste majoritairement informel. Même en supposant qu’il y ait une sous-estimation significative, les envois de fonds vers plusieurs pays africains constituent une part élevée de leur produit intérieur brut (PIB). Les membres des diasporas ont accumulé 500 milliards d’USD d’épargne. Il est impératif que les acteurs publics et privés créent les conditions permettant des investissements sûrs et efficaces pour les groupes des diasporas.
